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Pôle emploi participe également à des publications en collaboration avec les partenaires.



Chambre de Métiers et de l'Artisanat

 

Le marché du travail dans l'Artisanat - Mai 2019 (champ : région Occitanie) 

Le secteur de l’Artisanat est le premier employeur de France et de la région. Avec près de 150 000 entreprises en Occitanie, plus de 50 000 établissements employeurs, 250 métiers et ses entreprises à taille humaine implantées aussi bien en ville qu’en zones rurales, l’Artisanat offre un panel d’opportunités pour trouver ou créer son propre emploi. 

 

  

 

CARIF-OREF

 

Groupe projet « Offres d’emplois non pourvues / Métiers en tension » Région Occitanie - Janvier 2019 (champ : région Occitanie) 

Ce dossier a été réalisé dans le cadre d’un groupe projet initié par la Région Occitanie sur les offres d’emplois non pourvues et les métiers en tension. Il comprend une note co-rédigée par le Carif-Oref Occitanie et Pôle emploi et une contribution du FAF.TT.

Dans un contexte de reprise économique et de mutation du marché du travail, la question des métiers en tension et les offres non pourvues devient centrale. Ainsi, la région Occitanie connait une augmentation des difficultés de recrutement déclarées par les employeurs alors que le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi ne cesse de progresser. Ce paradoxe pose de nombreuses questions notamment sur les métiers, les secteurs et les territoires présentant des difficultés de recrutement. Les tensions, qui traduisent l’inadéquation entre l’offre et la demande d’emploi, trouvent leurs causes dans différents facteurs, ces derniers pouvant provenir de la nature de l’offre d’emploi, des éléments environnementaux ou encore de la demande d’emploi elle-même.

 

 

- Les fiches Statmétiers - Edition 2017 (champ : région Occitanie) 

Les fiches StatMétiers réalisées avec le concours de l’Etat, de la Région et des partenaires sociaux, sont une coproduction Carif-Oref et Pôle emploi.

Elles permettent de répondre aux questions que l'on se pose quand on souhaite exercer un métier en Occitanie :

- Quelles sont les perspectives d’emploi pour ce métier ?

- Qui exerce ce métier et dans quelles conditions ?

- Quelles sont les caractéristiques du marché de l’emploi ?

Elles couvrent l'ensemble du territoire de la région Occitanie et présentent les données les plus actualisées sur les perspectives d’emploi, les conditions d’exercice et le marché du travail pour 225 métiers issus de la nomenclature des FAmilles Professionnelles (FAP).

Les fiches StatMétiers se veulent des outils d’aide à la décision des professionnels et des acteurs régionaux de l’emploi et de la formation. Elles constituent également une source d’information utile à destination d’un public plus large désireux de mieux connaître les métiers et leur contexte en région.


 

- Le Plan 100 000 formations prioritaires pour les demandeurs d'emploi (champ : Languedoc-Roussillon)

Ce nouveau numéro d'Enjeux est issu des travaux de la concertation régionale relative au plan 100 000 formations prioritaires pour les demandeurs d’emploi en LR. En 2014 en Languedoc-Roussillon, le plan a financé 6 300 entrées supplémentaires sur les 32 300 entrées en formation de demandeurs d’emploi recensées tous dispositifs confondus. Cette synthèse présente les acteurs et le contexte institutionnel de mise en œuvre du plan 100 000 en LR, les premiers résultats, les données d’ensemble de la formation des demandeurs d’emploi, ainsi que les perspectives 2015 pour la concertation régionale. Cette publication est destinée aux acteurs des politiques emploi-formation du Languedoc-Roussillon. Plus largement, elle est utile à tous ceux ou celles qui veulent mieux connaître les enjeux de la formation des demandeurs emploi, les principaux acteurs et le cadre de la gouvernance. Elle a pu être réalisée grâce au financement de l’Etat, de la Région et l’appui de l’Europe. 

 

 

 

INSEE :

 

 

- Le bilan économique 2018 (Insee Conjoncture Occitanie N°18 - juin 2019)

2018 : l’économie régionale résiste, dans un contexte de ralentissement de la croissance.

En 2018, la croissance décélère sensiblement en France, avec une augmentation du PIB de 1,7 % en 2018 après +2,3% en 2017. Dans le même temps, l'emploi salarié ralentit également et progresse de 0,6% après 1,3%. En Occitanie, le ralentissement est un peu plus modéré, l'emploi progressant de 0,9% après +1,5% en 2017. Cependant, le taux de chômage ne baisse que très faiblement et concerne 10,3% de la population active en fin d'année.



 - Un marché du travail dynamique et attractif, mais un chômage qui reste élevé(Insee Analyses, N°68 - février 2019)

L’Occitanie est une des régions où la croissance de l’emploi entre 2006 et 2013 est la plus dynamique. Pourtant, la hausse du taux de chômage est aussi l’une des plus élevées de France métropolitaine. Ce paradoxe apparent s’explique, en grande partie, par le dynamisme de la population active, qui croît fortement sous l’effet principal d’un apport migratoire important et, dans une moindre mesure, du changement des comportements d’activité des habitants, suite notamment aux réformes des retraites.

 

 

 - Une approche de la précarité en Midi-Pyrénées, Tableaux de bord / édition 2018

Les tableaux de bord de la précarité proposent une photographie de la précarité. Ils s'appuient sur des indicateurs structurés selon quatre dimensions : chiffres-clés socio-économiques, minima sociaux, accès aux soins et bas revenus.

 

 

 - Emploi salarié saisonnier - Une activité à part entière ou de complément 

 

Le travail saisonnier recouvre différentes réalités qui reflètent des profils et des trajectoires variés. En Occitanie, entre novembre 2013 et octobre 2014, le temps de travail des 195 600 salariés saisonniers atteint en moyenne seulement 30 % d'un emploi annuel à temps complet, en cumulant le cas échéant tous leurs contrats. Souvent occupés par des jeunes, peu qualifiés et donc peu rémunérés, les emplois saisonniers concernent davantage les métiers de serveurs et d'ouvriers agricoles. Les enjeux de déplacements et de logement des saisonniers sont importants pour ces salariés particulièrement mobiles : un sur trois réside en dehors de la zone d'emploi où il remplit son contrat. Lorsqu'ils occupent plusieurs postes saisonniers ou non saisonniers dans l’année, 59 % d'entre eux changent de secteur d'activité, contre 50 % pour l'ensemble des salariés.

En Occitanie, l’emploi salarié saisonnier est multiforme et pèse globalement peu, avec moins de 2 % de l’emploi salarié annuel en équivalent temps plein. Cependant, à certaines périodes de l’année et sur certains territoires, il peut représenter un volume d’emploi important. Ainsi, pendant les mois de juillet et d’août sur le littoral méditerranéen, lorsque l’activité saisonnière atteint son pic, l'emploi salarié saisonnier représente près de 12 % de l’ensemble des emplois salariés en équivalents temps plein mensuels de cette zone. Dans les secteurs de l’hébergement-restauration et de l’agriculture, l’emploi salarié saisonnier est plus important qu’en moyenne. Il pèse aussi davantage dans les zones d’emploi littorales, notamment dans celles de Céret et d’Agde-Pézenas.

 

 

LES PRINCIPALES DECLINAISONS GEOGRAPHIQUES DE L'OBSERVATOIRE


L’observatoire de l'emploi permet de répondre à des problématiques thématiques ou bien géographiques.

Il décline notamment des analyses au niveau

      - de la région,

      - des départements,

      - des bassins d’emploi

Il reprend également la situation des 100 principales communes et communautés de communes de la région.



COMPOSITION DES BASSINS D'EMPLOI : communes d'appartenance

 

Accéder à l'outil de visualisation des bassins d'emploi.

 

 

Cet outil intéractif permet de définir visuellement les communes d'appartenance de chaque bassin à travers une approche cartographique. Il propose également la liste détaillée des communes de chaque bassin de la région.

 

 

-------------------------------------   LE MARCHE DU TRAVAIL  -------------------------------------


La demande d'emploi


Les catégories de demandeurs d'emploi inscrits en fin de mois à Pôle emploi

Conformément aux recommandations du rapport du CNIS sur la définition d'indicateurs en matière d'emploi, de chômage, de sous-emploi et de précarité de l'emploi (septembre 2008), les données sur les demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi sont regroupés en fonction des catégories suivantes :
- catégorie A : demandeurs d'emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d'emploi, sans emploi ;
- catégorie B : demandeurs d'emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d'emploi, ayant exercé une activité réduite courte (i.e. de 78 heures ou moins au cours du mois) ;
- catégorie C : demandeurs d'emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d'emploi, ayant exercé une activité réduite longue (i.e. de plus de 78 heures au cours du mois) ;
- catégorie D : demandeurs d'emploi non tenus de faire des actes positifs de recherche d'emploi (en raison d'un stage, d'une formation, d'une maladie…), sans emploi ;
- catégorie E : demandeurs d'emploi non tenus de faire des actes positifs de recherche d'emploi, en emploi (par exemple : bénéficiaires de contrats aidés).


L'ancienneté sur les listes de Pôle emploi


L'ancienneté d'inscription à la fin du mois d'un demandeur d'emploi mesure le nombre de jours qu'il a passé inscrit à Pôle emploi dans l'une des catégories A, B ou C. Du fait du mode d'enregistrement des entrées et des sorties, il n'est pas possible de calculer l'ancienneté en catégorie A (respectivement B ou C) ou la durée passée sans discontinuité dans la catégorie A (respectivement B ou C). De manière conventionnelle, un demandeur d'emploi qui est resté inscrit plus de 12 mois sur les listes de Pôle emploi (i.e. son ancienneté sur les listes est supérieure à 1 an) peut être qualifié de demandeur d'emploi de longue durée. S'il est inscrit depuis plus de 24 mois, il est considéré comme étant demandeur d'emploi de très longue durée.


Les motifs d'entrée et de sortie des listes de Pôle emploi pour les catégories A, B, C


Les flux d'entrée et de sortie des listes sont présentés suivant différents motifs.

Parmi les motifs d'entrée :
- les premières entrées correspondent aux cas où la demande d'emploi est enregistrée alors que la personne se présente pour la première fois sur le marché du travail, notamment lorsqu'elle vient d'achever ses études ou lorsqu'elle était auparavant inactive ;
- les autres cas recouvrent des situations ne correspondant à aucune autre ventilation, y compris les entrées pour rupture conventionnelle de CDI.
 

 Parmi les motifs de sortie :
- les arrêts de recherche sont liés à une maladie, un congé de maternité, un accident du travail, un départ en retraite ou une dispense de recherche d'emploi ;
- les cessations d'inscription pour défaut d'actualisation correspondent aux cas où le demandeur d'emploi n'a pas actualisé sa déclaration de situation mensuelle ;
- les radiations administratives peuvent intervenir lorsque le demandeur d'emploi ne répond pas à une convocation, lorsqu'il fait une fausse déclaration ou lorsqu'il refuse une offre d'emploi (le motif d'offre raisonnable d'emploi a été ajouté en octobre 2008), une formation, une visite médicale, un contrat d'apprentissage ou de professionnalisation, un contrat aidé, une action d'insertion. La suspension qui en découle peut aller de 15 jours à 12 mois suivant la cause ;
- les autres cas recouvrent des situations ne correspondant à aucune autre ventilation.
 
Les motifs de sortie des listes de Pôle emploi sont mal connus dans les fichiers administratifs. En particulier, dans les statistiques publiées chaque mois, les reprises d'emploi déclarées sous-estiment le nombre de reprises réelles d'emploi. En effet, chaque mois, de nombreux demandeurs d'emploi sortent des listes parce qu'ils n'ont pas actualisé leur situation mensuelle en fin de mois (ils sont alors enregistrés dans le motif « cessation d'inscription pour défaut d'actualisation ») ou à la suite d'une radiation administrative, par exemple pour non réponse à convocation. Or, une partie de ces demandeurs d'emploi a en fait retrouvé un emploi. L'enquête trimestrielle Sortants de Pôle emploi et de la Dares fournit une estimation de la part des sorties réelles pour reprise d'emploi.
 

Les offres d'emploi collectées à Pôle emploi


Pôle emploi collecte des offres d'emploi auprès des entreprises. Les offres collectées publiées sont classées suivant trois types :
- les offres d'emploi durable, pour des contrats de plus de six mois ;
- les offres d'emploi temporaire, pour des contrats compris entre un et six mois ;
- les offres d'emploi occasionnel, pour des contrats de moins d'un mois.

Les rapprochements entre les offres et les demandes d'emploi doivent être faits avec précaution dans la mesure où une partie des besoins de recrutement des entreprises ne donne pas lieu au dépôt d'une offre auprès de Pôle emploi et ce dans des proportions qui peuvent varier selon la qualification de l'emploi, le secteur d'activité ou la taille de l'entreprise.

 

 

 

------------   L'ENQUÊTE SUR LES BESOINS EN MAIN-D'OEUVRE  -----------


 

L'enquête Besoins en Main-d'Oeuvre (BMO) est une initiative de Pôle emploi, réalisée avec l'ensemble de ses directions régionales et le concours du Crédoc. L'enquête BMO est avant tout un outil d'aide à la décision pour Pôle emploi qui peut ainsi mieux connaître les intentions des établissements en matière de recrutement et adapter l'effort de financement pour les formations des métiers en tension. Cette enquête mesure les intentions de recrutement des employeurs pour l'année à venir, qu'il s'agisse de créations de postes ou de remplacements. De plus, ces projets concernent tous les types de recrutement, y compris les postes à temps partiel et le personnel saisonnier. L'enquête BMO est réalisée chaque année entre octobre et décembre dans toutes les régions métropolitaines et les départements d'outre-mer.


Le champ étudié intègre : 

- les établissements relevant de l'Assurance chômage
- les établissements de 0 salarié ayant émis au moins une déclaration d'embauche au cours des 12 derniers mois,
- les établissements du secteur agricole,
- les établissements du secteur public relevant des collectivités territoriales (communes, régions…),
- Les établissements publics administratifs (syndicats intercommunaux, hôpitaux, écoles…).

 

L'enquête ne comprend donc pas les administrations de l'État (ministères, police, justice…) et les entreprises publiques (Banque de France, RATP…). 

 
Le questionnaire soumis aux employeurs couvre une liste de 200 métiers qui correspond aux Familles Professionnelles (FAP) et se décline en six versions différentes, afin d'ajuster la liste de métiers proposée au secteur d'activité de l'établissement.

L'interrogation des établissements s'effectue majoritairement par voie postale. Une enquête complémentaire téléphonique est également réalisée afin de compléter et d'expliciter les résultats de l'enquête principale. Un dispositif spécifique prend également en compte la politique de recrutement centralisée des plus grands groupes.

Les résultats sont redressés à l'aide d'une procédure de type calage sur marges définies à partir de la structure de la population mère des établissements. Ils sont ainsi représentatifs de l'ensemble des établissements.



-------------------------------------   L'EMPLOI SALARIE  -------------------------------------


En début de chaque année, les employeurs du secteur concurrentiel déclarent à l'URSSAF les effectifs employés dans l'établissement au 31 décembre de l'année écoulée, qu'ils soient présents à cette date ou absents pour congés, maladie, maternité, formation continue ou chômage partiel. Cette déclaration permet la localisation géographique (département-commune) et l'identification de l'activité principale (code APE) de l'établissement. Elle donne la « photographie » d'une situation au 31 décembre qui ne peut refléter les variations saisonnières survenues en cours d'année. Toutefois, les renseignements collectés se référant ponctuellement à la même date, le 31 décembre de chaque année, les comparaisons gardent toute leur valeur.

Compte tenu des délais relativement courts pour la réalisation d'une telle étude, les résultats concernant la dernière année sont provisoires. Les rectifications peuvent être rendues nécessaires par la variation du champ d'application, les modifications du code de l'activité économique, des déclarations tardives, des estimations erronées ou des erreurs de saisie. L'ensemble de ces corrections effectuées a posteriori explique qu'il ne puisse y avoir concordance absolue entre une population de salariés recensés à la fin de l'année « n » (chiffres bruts) et la même population prise comme base d'évolution l'année suivante (chiffres rectifiés).

 


Les données sont issues de la base de données Séquoia de l’ACOSS et des URSSAF. Cette dernière est alimentée par les bordereaux récapitulatifs de cotisations remplis par les établissements employeurs du régime général.


Sont comptabilisés les effectifs salariés des établissements employeurs du secteur privé ayant au moins un salarié au 31 décembre. Le champ couvre l’ensemble des cotisants du secteur concurrentiel qui comprend tous les secteurs d’activité économique sauf les administrations publiques, l’éducation non marchande (établissements d’enseignement relevant de l’Etat ou des collectivités locales), la santé non marchande et l’emploi par les ménages de salariés à domicile. Pour le secteur de l’agriculture, la branche de recouvrement n’a qu’une couverture marginale.

 

 
L'intérim

La loi de février 1994 impose aux établissements de travail temporaire (ETT) de transmettre chaque mois à Pôle emploi un relevé des contrats de mission en cours durant le mois écoulé. Les déclarations doivent arriver au plus tard le 20 du mois M+1 pour les missions exécutées pendant le mois (de référence) M. Les déclarations réceptionnées trop tard dans le mois d'exploitation M+1 sont prises en compte dans le mois d'exploitation M+2.

La déclaration est établie établissement par établissement (l'émetteur pouvant être l'établissement lui-même, son siège ou un quelconque tiers). Les données concernent les missions exécutées, accompagnées d'informations concernant l'intérimaire, l'établissement utilisateur (ETU) chez qui travaille l'intérimaire et l'établissement de travail temporaire (ETT) employeur de l'intérimaire.

Ces données alimentent le Système d'Information ETT (SI-ETT) géré par Pôle emploi. Pôle emploi exécute des contrôles techniques et fonctionnels sur les fichiers reçus. La gestion et la correction des rejets sont effectuées au cours du mois M+1 pour des périodes travaillées principalement au cours du mois M (auxquelles s'ajoutent les missions déclarées en retard).